Plus besoin de présenter au public brugeois Iván Fischer et son Orchestre du Festival de Budapest. Au cours des dernières années, ceux-ci nous ont toujours gratifiés d’interprétations particulièrement inspirées et passionnantes du grand répertoire pour orchestre. Cette édition est axée sur la musique de Mahler, un compositeur avec lequel Fischer entretient un lien particulier, en témoignent ses enregistrements largement récompensés de plusieurs de ses symphonies. Et cette fois encore, le chef d’orchestre vedette emmène avec lui un jeune talent : le pianiste Alexandre Kantorow se déchaîne dans les œuvres de Beethoven et Liszt.
't Zand 34, 8000 Brugge, la Belgique
Iván Fischer invite Alexandre Kantorow
3 juin 2022, 20.00
Le lauréat français rejoint Iván Fischer
En 2019, Alexandre Kantorow a époustouflé le public comme le jury du prestigieux concours Tchaïkovski à Moscou. Comme il le démontre dans le Quatrième concerto pour piano de Beethoven, exercice de virtuosité pour les doigts, la tête et le cœur du pianiste, la médaille d’or de ce jeune homme dans la vingtaine est toujours aussi amplement méritée. Iván Fischer poursuit avec la Première de Mahler. Les énigmatiques mesures d’ouverture suggèrent que quelque chose d’important est en train de se jouer. Une des premières symphonies les plus impressionnantes et audacieuses jamais écrites !
programme:
Gustav Mahler (1860-1911)
Symphonie n° 1
Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Concerto pour piano n° 4
artistes:
Orchestre du Festival de Budapest : orchestre
Iván Fischer : chef d’orchestre
Alexandre Kantorow : piano
4 Juin 2022, 20.00
Match made in heaven : Iván Fischer interprète Liszt et Mahler
« La réincarnation de Liszt », titrait Le Monde à propos d’Alexandre Kantorow. Ce jeune pianiste a vraiment des étincelles dans les doigts ! Il nous le prouve avec Iván Fischer dans le Deuxième concerto pour piano de Liszt, qu’il enregistrait sur CD à l’âge de 19 ans déjà. Fischer dirige ensuite son orchestre d’une grande flexibilité dans la Quatrième symphonie de Mahler, baignée de bout en bout d’une agréable lumière. Est-il dès lors étonnant que cette apothéose de chant débouche sur un lied dans lequel la chanteuse imagine une fête divine ?
programme:
Gustav Mahler (1860-1911)
Symphonie n° 4 en sol majeur
Franz Liszt (1811-1886)
Concerto pour piano n° 2 en la
artistes:
Orchestre du Festival de Budapest : orchestre
Iván Fischer : chef d’orchestre
Alexandre Kantorow : piano
Mirel