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Hiába választ el minket immár több, mint hét évtized a holokauszttól, az emlékezés útjain újra meg újra szükségünk van arra a „gondolatnyi csendre”, amivel méltón adózhatunk az áldozatok emlékének. A sötét tragédia, az elmondhatatlan, közös veszteség mély fájdalma kössön össze minket, szolgáljon tanulságul nekünk és a jövő nemzedékeinek.
Az auschwitzi koncentrációs tábor felszabadulásának napja, január 27-e az ENSZ közgyűlésének 2005. november 1-jén kelt határozata alapján a holokauszt nemzetközi emléknapja. Az áldozatok emlékére a párizsi Magyar Kulturális Intézet ezen a napon Török Ferenc 1945 című alkotását vetíti. Irodalmi oldalunkon www.litteraturehongroise.fr pedig a film alapjául szolgáló elbeszélés szerzőjével, Szántó T. Gáborral készült interjú és a novella francia változata olvasható.
La juste route (1945), réalisé par Ferenc Török, 2017
Août 1945, quelque part en Hongrie. Un village s'apprête à célébrer le mariage du fils du notaire. Deux hommes, chargés de lourdes caisses, arrivent dans cette bourgade reculée. La rumeur circule qu'ils sont les descendants de déportés juifs. D’autres, après eux, pourraient revenir habiter là et réclamer leurs biens. Dès lors, la responsabilité de certains pendant la guerre est questionnée. Le destin des jeunes mariés sera-t-il marqué par leur retour ?
Séance présentée et animée par Mathieu Lericq.
L’intimité atteinte : le cinéma hongrois au prisme du féminin
Cycle de projections
Institut culturel hongrois
2021
Ce programme est composé d’œuvres de fiction issues de la cinématographie hongroise ayant pour particularité d’interroger la condition féminine. Explorant des genres et des styles très divers, il invite à s’intéresser à la représentation de personnages de femmes, souvent confrontées à des contraintes morales et à des pressions sociales propres aux contextes narratifs traités (XVIIIe siècle, Seconde Guerre mondiale, communisme, etc.). Quel regard les cinéastes portent-ils sur les femmes et leur place dans la société hongroise ? La question implique en particulier le travail des réalisatrices, au premier rang desquels celui de Márta Mészáros, laquelle a développé une vision à la fois intime, politique et largement autobiographique de l’émancipation féminine. Adopter le prisme du féminin a pour double visée d’identifier et de formuler différents enjeux psychologiques, sociologiques, historiques et esthétiques, à l’appui desquels peuvent naître des réflexions cruciales sur les rapports familiaux, affectifs et sexuels.
Cette série de projections-débats est animée par Damien Marguet, Mathieu Lericq et Beatriz Rodovalho.